Quand faire sa séance de stretching ?

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Entre autres bienfaits, le stretching permet de travailler sa souplesse. Plus de flexibilité permet d’améliorer vos performances durant l’entraînement. Découvrez quel est le meilleur moment pour faire vos étirements, en fonction de leur nature : statiques ou dynamiques.

Qu’est-ce que le stretching ?

Le terme anglais stretching se traduit en français par “étirement”. Ce type d’exercices sert à entretenir la souplesse des ligaments, des tendons et des muscles du corps. Cela facilite le bon fonctionnement de notre appareil locomoteur, c’est-à-dire notre mobilité. La combinaison des deux constitue la meilleure manière de réduire les raideurs, dynamiser les performances et diminuer le stress. Il est important de terminer sa séance avec des exercices de stretching.

À quoi sert le stretching ?

Lorsqu’un muscle se contracte, ses deux extrémités se rapprochent. Par exemple, lors d’un exercice de RPM, l’arrière de la cuisse se contracte : cela se traduit par un rapprochement du muscle situé sous les fessiers de celui de la jambe inférieure. Or, le stretching produit l’effet inverse. Au lieu de se rapprocher, les muscles s’éloignent l’un de l’autre pour s’étirer. Cela permet de mieux les irriguer et de les alimenter en oxygène et en nutriments essentiels. En s’étirant, le muscle se régénère plus vite et augmente ses performances en gagnant en souplesse.

Quels sont les bienfaits du stretching ?

En procédant à des séances régulières de stretching, vous améliorez la mobilité de vos articulations. Vous renforcez par la même occasion, vos ligaments et vos tendons. C’est ce qui permet aux sportifs professionnels d’augmenter le niveau de leur entraînement progressivement. En plus d’améliorer les performances, les exercices d’étirement réduisent les tensions musculaires et psychologiques, optimisant le bien-être corporel, en conséquence. Alors après votre jogging matinal dans les rues de Genève ou votre séance en salle de sport à la pause déjeuner n’oublier pas de vous prévoir un peu de temps d’étirement.

Quand faire ses exercices d’étirement ?

Votre séance de HIIT au parc de la Grande de Genève terminé, c’est le moment de passer aux exercices d’étirement. L’on distingue généralement deux types d’étirement : le statique et le dynamique.

Le stretching statique

L’étirement statique doit être effectué après l’échauffement du corps, après l’entraînement ou durant une séance d’entraînement isolée. Cette technique est recommandée dans le cadre de la pratique de l’une ou l’autre des disciplines suivantes : course à pied, danse, pilates, gymnastique ou sport de combat. L’exercice consiste à tenir la position pendant au moins 30 secondes. Son avantage essentiel se traduit par un gain de souplesse.

Le stretching dynamique

L’étirement dynamique doit être effectué durant l’échauffement ou au moment de la récupération après l’effort. Cette technique est recommandée dans le cadre de la pratique de disciplines aux efforts soutenus : les sprints, les sports de ballon ou les sports de force. L’exercice consiste à effectuer des mouvements souples et doux à répéter une dizaine de fois. L’avantage essentiel se traduit par une amélioration de la coordination et une meilleure circulation sanguine.

Une séance de stretching permet d’améliorer les performances physiques et de réduire le stress. Mais il convient toutefois de la faire à bon escient. Choisissez les exercices d’étirement selon la discipline sportive que vous pratiquez. À défaut, vous ne ferez pas travailler les muscles adéquats.